Ce que je lis - Le livre sans nom

  • La photo


Le livre sans nom, Auteur Anonyme
  • Le speech à l'arrière du livre :
Vous désespériez de trouver un équivalent littéraire aux films de Quentin Tarantino, de John Carpenter, de Robert Rodriguez ? Lisez Le Livre sans nom. À vos risques et périls.
Santa Mondega, une ville d’Amérique du Sud oubliée du reste du monde, où sommeillent de terribles secrets…

Un mystérieux tueur en série, qui assassine ceux qui ont eu la malchance de lire un énigmatique ʺlivre sans nomʺ…

La seule victime encore vivante du tueur, qui, après cinq ans de coma, se réveille, amnésique…
Deux flics très spéciaux, un tueur à gages sosie d’Elvis Presley, des barons du crime, des moines férus d’arts martiaux, une pierre précieuse à la valeur inestimable, un massacre dans un monastère isolé, quelques clins d’œil à Seven et à The Ring… et voilà le thriller le plus rock’n’roll et le plus jubilatoire de l’année !
Diffusé anonymement sur Internet en 2007, cet ouvrage aussi original que réjouissant est vite devenu culte. Il a ensuite été publié, d’abord en Angleterre puis aux États-Unis, où il connaît un succès fulgurant
  • Pourquoi je l'ai choisi
Un jour (il y a plus d'un an) le gestionnaire de mon chantier m'a dit : "Toi qui adore lire, tu devrais lire le livre sans nom."
"Ah ok, mais il est de qui ?"
"Ben c'est un auteur anonyme qui l'a écrit"

Passez le moment où je me suis demandée s'il se moquait de moi où non, j'ai inscrit ce nom dans un petit coin de ma tête, me disant que j'allais aller le chercher.
Une commande à la bibliothèque plus tard et me voilà avec le livre dans les mains :D
  • Un extrait
Pour vous mettre dans l'ambiance, voici la description du lieu principal où se déroule l'action du livre...

« Le Tapioca était un bar qui avait vraiment du caractère. Ses murs étaient jaunes, et pas d'un jaune agréable : plutôt un jaunâtre de fumée de cigarette. Rien d'étonnant à cela : l'une des nombreuses règles tacites du Tapioca était l'obligation, pour l'ensemble de la clientèle, de fumer. Cigares, pipes, cigarettes, joints, narguilés, cigarillos, bangs, tout était autorisé, excepté ne pas fumer. Ne pas fumer était tout à fait inacceptable. Le fait de ne pas boire de l'alcool était aussi considéré comme un péché, mais le plus grand des péchés, c'était d'être un inconnu dans ses lieux. Dans ce bar, personne n'aimait les inconnus. »

  • Comment j'ai "ressenti" le livre
C'est simple, j'ai adoré. Je ne savais pas vraiment à quoi m'attendre, je me suis donc doucement laissée embarquer. Mais très vite on rentre dedans.
Il faut ne pas lacher, quand il s'agit de comprendre qui est qui, mais l'auteur est un as pour retranscrire les ambiances. Ils parlent de Tarantino sur la 4ème de couverture, et oui on pourrait bien être dans Kill Bill (ou dans l'image que je me fais de Kill Bill parce que je ne suis pas bien sûre de me souvenir du film)

L'histoire, est ce qu'elle est. C'est plein de rebondissement, on part à la recherche des méchants, etc...Et même avec beaucoup beaucoup d'imagination, on ne peut deviner la chute. Peut être un peu trop tirée par les cheveux certes.

Quoi qu'il en soit, il y a un livre sans nom 2 et un livre sans nom 3, je pense que vous allez bientôt en trouver un commentaire sur ce blog.

1 commentaire:

  1. Trop fort je l'ai commencé 1 semaine avant le weekend avec tout le monde à Perpi ! C'est ma belle-soeur qui me l'a prêté il y a quelques temps :-) par contre là c'est en stand by et vraiment pas dit que j'aie le temps de le continuer :-(

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