Je commence par reprendre du service par un livre, qui fait quasiment parti du voyage à Saint Pétersbourg
Un jour qu'ils se promènent sur l'artère principale de Saint-Pétersbourg, la Perspective Nevski, deux hommes vont voir leurs destins bouleversés. Piskarov, peintre de son état, aperçoit une jeune femme dont il s'éprend. Il ignore tout d'elle mais imagine ses qualités. Elle devient son idéal.
Un jour il décide de la suivre. Quelle n'est pas sa désillusion quand il réalise qu'elle est une prostituée. Depuis cette amère découverte, Piskarov s'enivre de paradis artificiels, de fantasmes où il retrouve une femme idéalisée.
Un jour, le jeune peintre décide de la demander en mariage. Mais il est éconduit, pire il est ridiculisé.
Une semaine plus tard, Piskarov est retrouvé mort, la gorge tranchée, dans son appartement.
De son coté, Pirogov a suivi la femme d'un dénommé Schiller. En l'absence de son époux, la femme rencontre Pirogov qui lui apprend à danser. Mais un jour le mari les surprend. Il saisit Pirogov et le frappe. Plus tard Pirogov hésite un instant à se venger mais renonce... Il préfère se consoler en mangeant des pâtisseries.
Le narrateur conclut : il s'interroge sur l'étrangeté du destin et sur les faux semblants...
- La photo
Nouvelles de Saint Petersbourg, Nikolai Gogol
- le speech à l'arrière du livre :
Et le speech de la partie qui m'intéressait : "La Perspective Nevski"
Un jour qu'ils se promènent sur l'artère principale de Saint-Pétersbourg, la Perspective Nevski, deux hommes vont voir leurs destins bouleversés. Piskarov, peintre de son état, aperçoit une jeune femme dont il s'éprend. Il ignore tout d'elle mais imagine ses qualités. Elle devient son idéal.
Un jour il décide de la suivre. Quelle n'est pas sa désillusion quand il réalise qu'elle est une prostituée. Depuis cette amère découverte, Piskarov s'enivre de paradis artificiels, de fantasmes où il retrouve une femme idéalisée.
Un jour, le jeune peintre décide de la demander en mariage. Mais il est éconduit, pire il est ridiculisé.
Une semaine plus tard, Piskarov est retrouvé mort, la gorge tranchée, dans son appartement.
De son coté, Pirogov a suivi la femme d'un dénommé Schiller. En l'absence de son époux, la femme rencontre Pirogov qui lui apprend à danser. Mais un jour le mari les surprend. Il saisit Pirogov et le frappe. Plus tard Pirogov hésite un instant à se venger mais renonce... Il préfère se consoler en mangeant des pâtisseries.
Le narrateur conclut : il s'interroge sur l'étrangeté du destin et sur les faux semblants...
- Pourquoi je l'ai choisi
Je suis donc allée chercher ce livre dans un tout petit coin d'une étagère reculée de la Fnac...Et c'est le livre le moins cher que j'ai acheté depuis longtemps !!!
- Comment j'ai "ressenti" le livre
La surprise n'est donc pas pour moi de taille quand j'ai vu que je me suis ennuyée...A tel point que le livre reste encore aujourd'hui inachevé (mais la nouvelle que je voulais lire je l'ai lu et en effet j'ai découvert des lieux à Saint Pétersbourg qui en faisait partie)
Je me demande d'ailleurs pourquoi dans les classiques, il y a toujours un éditeur (ou une personne qui fait la préface) qui cherche à détailler et à comprendre chaque mot écrit par l'auteur...
Les petits numéros renvoyant en bas de la page avec écrit : "L'auteur emploie dans les 15 dernières lignes l'adjectif laid, serait ce parce qu'il est obsédé par son physique ingrat ?" me font péter les plombs !
Bon je ne vais pas épiloguer, si vous aimez les classiques, celui ci est, parait il, très bien, sinon, si vous n'allez pas à Saint Pétersbourg, il n'y a pour moi pas vraiment d'intérêt à le lire...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire